Le jeudi 12 octobre à 19h30 a eu lieu le 4e cours des « Fondamentaux de l’orthodoxie », formation proposée par l’Institut Saint-Serge à tous ceux qui désirent découvrir ou approfondir leurs connaissances de l’orthodoxie. Cette séance a été intitulée : « L’Église, expérience communautaire : mouvements et fraternités ». L’intervention a été faite par Michel Stavrou et Cyrille Sollogoub.

Pour s’inscrire au colloque de l’ITO Saint-Serge : « Lire l’Écriture aujourd’hui dans l’esprit des Pères » qui aura lieu les 24 et 25 novembre 2023, veuillez cliquez ICI

Du 20 au 22 septembre 2023, le Doyen de l’ITO M. Michel Stavrou a participé à Kalamata (Grèce) à un colloque théologique, scientifique et œcuménique intitulé « Nicée (325) », organisé par la Faculté de théologie jésuite Saint-Georges (Francfort) et la métropole orthodoxe de Messénie (Kalamata, Grèce) avec l’aide de la Fondation Pelthéo (Porrentruy, Suisse). Consacré à l’histoire du 1er Concile œcuménique de Nicée (325) et à ses enjeux théologiques, ce symposium rassemblait 27 théologiens – 15 catholiques et 12 orthodoxes – issus de 13 pays européens (Allemagne, Bulgarie, France, Grèce, Italie, Norvège, Pologne, Roumanie, Royaume-Uni, Russie, Suisse, Tchéquie, Ukraine). Ce colloque était structuré en trois sessions : 1) La préparation et le déroulement du concile de Nicée ; 2) La théologie de ce concile ; 3) La difficile réception du concile de Nicée.

Le 7 octobre 2023, l’Assemblée des évêques orthodoxes de France (AEOF) avait organisé une journée dédiée à la jeunesse orthodoxe. Un thème de réflexion commune a été mis au centre de cette rencontre : « La présence des réseaux sociaux dans la vie contemporaine ».

L’Institut Saint-Serge s’est associé à cette journée par la participation de la Prof. Dr Julija Naett Vidovic qui a animé la table ronde et qui est également intervenue dans les échanges présentant les aspects bioéthiques quant à l’utilisation des réseaux sociaux.

Le programme complet de cette journée a été le suivant :

9h30 – 11h30 : Divine Liturgie
12h00 – 13h00 : agape offerte
13h00 – 15h00 : table ronde
15h00 – 16h00 : activités conviviales
16h00 – 17h00 : concert de chant liturgique

Pour plus d’information, veuillez cliquer ICI.

Le jeudi 5 octobre à 19h30 a eu lieu le 3e cours des « Fondamentaux de l’orthodoxie », formation proposée par l’Institut Saint-Serge à tous ceux qui désirent découvrir ou approfondir leurs connaissances de l’orthodoxie. Cette séance a été intitulée : « L’Église, expérience communautaire : paroisses et monastères ». L’intervention a été faite par Mgr Syméon (Cossec) (via un enregistrement) et le p. Nicolas Cernokrak.

Les 29 et 30 septembre 2023, le Doyen de l’ITO M. Michel Stavrou a participé à Rome à un colloque universitaire intitulé « L’ecclésiologie du Père de Lubac », organisé par la Faculté de théologie de l’Université Pontificale Grégorienne, le Centre Saint-Louis de Rome et le Centre Sèvres de Paris en partenariat avec l’Ambassade de France auprès du Saint-Siège. Consacré à l’œuvre de celui qui fut l’un des inspirateurs du concile Vatican II, et rassemblant 13 théologiens catholiques et un orthodoxe, ce colloque structuré en trois sessions (voir ci-joint le programme) se proposait de réfléchir sur l’actualité du livre intitulé « Les Églises particulières dans l’Église universelle », paru en 1971.

Dans la 2^e session consacrée à une relecture de cet ouvrage, M. Stavrou a souligné, lors de son intervention, les convergences qui existent entre l’approche du P. de Lubac et celle des promoteurs orthodoxes de l’ecclésiologie eucharistique, tels que N. Afanassieff, A. Schmemann, J. Meyendorff et J. Zizioulas, même si chez Henri de Lubac, l’Eucharistie ne tient pas un rôle structurant en ecclésiologie. Le thème de la collégialité épiscopale développé par Lubac et à Vatican II pour souligner à juste titre l’unité de l’Église universelle n’honore pas suffisamment en contrepoint la catholicité de l’Église diocésaine réunie autour de son évêque. De plus, la conscience ecclésiale orthodoxe admet bien la nécessité d’une primauté au sein de la communion universelle des évêques, mais celle-ci ne saurait s’envisager comme un pouvoir de droit divin pouvant porter préjudice à la synodalité de l’Église.